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  • Cette couche vient en complément à la couche des axes de ruissellement sur Rennes Métropole (UUID = e0fa5c09-ee44-46ff-a068-b6dada575c9f) par analyse topographique. Dans le cadre de l'étude de ruissellement actuellement menée par Rennes Métropole (2023-2025), une première analyse du fonctionnement hydraulique a été réalisée à l’échelle globale de son territoire. Sur la base des formes du terrain naturel, l'analyse a permis d'identifier les sous bassins versants topographiques correspondants aux axes de ruissellements. Ils permettent de facilement identifier la répartition des surfaces d’apport.

  • Cette couche représente le contour de la ZTL sur Rennes. Dans la ZTL de Rennes : - La vitesse reste limitée à 20 km/h, (comme depuis juin 2020) ; - Priorité est donnée aux piétons et aux vélos ; - Tous les conducteurs de véhicules motorisés ne peuvent pas y entrer. Sont autorisés avec justificatif (suivant l'arrêté) : - Les riverains (habitants, professionnels) ; - Les artisans en intervention ; - Les livreurs ; - Les personnels médicaux et aides à la personne ; - Les clients des hôtels ; - Les patients qui ont un rendez-vous médical dans la zone ; - Les personnes transportant un achat encombrant ; - Les accompagnateurs de riverains dans l'incapacité de conduire ; - Les personnes à mobilité réduite… Sont autorisés sans justificatif : - Les services de police et de sécurité ; - Les taxis ; - Les véhicules de secours ; - Les exploitants de réseaux en intervention ; - Les véhicules de services municipaux en intervention ; - Les cycles et trottinettes ; - Les transports de fonds ; - Les transports en commun ; - Les cortèges et véhicules officiels ; - Les véhicules d’auto-partage. Sur le terrain, une signalisation indique les points d'entrée de la ZTL.

  • Cette couche vient en complément à la couche des axes de ruissellement sur Rennes Métropole (UUID = e0fa5c09-ee44-46ff-a068-b6dada575c9f) par analyse topographique. Dans le cadre de l'étude de ruissellement actuellement menée par Rennes Métropole (2023-2025) une première analyse du fonctionnement hydraulique du territoire a été réalisée à l’échelle globale de son territoire. Sur la base des formes du terrain naturel, l'analyse a permis d'identifier les éléments topographiques liés aux axes de ruissellement suivants : => Les zones de cuvettes en point bas/sans exutoires où les eaux auront tendance à s’accumuler naturellement ; Seules les cuvettes (ou dépressions topographiques) d’une profondeur inférieure à 10 m, d’une surface supérieure à 250 m², d’une profondeur supérieure à 20 cm sont affichées. Ces seuils d’affichage reposent sur des critères physiques : ils correspondent à la surface moyenne d’une parcelle en secteur urbanisé et à la hauteur d’une marche ou d’un trottoir. Les cuvettes affichées sont uniquement des cuvettes qui croisent un axe de ruissellement, elles ont donc un fonctionnement dynamique avec potentiellement des vitesses d’écoulement importantes. => Les remblais structurels, notamment d’infrastructures routières et voies ferrés, qui constituent des obstacles à l’écoulement naturel des eaux et qui peuvent donc générer des zones d’accumulation artificielles. Limites de l'utilisation de la donnée : Les éléments topographiques (cuvettes et remblais) cartographiés sont uniquement ceux qui croisent (dans un certain rayon) un axe de ruissellement. La totalité du volume d’une cuvette n’est pas nécessairement mobilisé en l'état actuel d'aménagement, mais il s’agit de zones qui pourraient être inondées en priorité en cas d'artificialisation des sols à proximité. Ainsi, il est dans tous les cas indispensables de confronter ces analyses à la réalité du territoire et notamment aux observations historiques recensées. Cela constitue plutôt une invitation à approfondir la connaissance des risques sur les secteurs à enjeux.

  • Cette couche WMS rassemble de multiples images générées à partir de plans techniques des projets d'aménagement prévus pour accompagner les travaux des lignes de trambus. Ce qui est consultable ici peut évoluer à tout moment et refléter des états d'avancement hétérogènes.

  • Cette couche de lignes localise les différents types de zones de stationnement à durée limitée sur Rennes. Le champ type_limitation indique le type de zone concerné à savoir : => Les arrêts minute (ou stationnements minute) : Il s'agit d'un stationnement gratuit pour un court laps de temps. Ces stationnements se destinent à faciliter l’accès aux écoles, aux gares et aux commerces afin de déposer en toute sécurité les passagers. La durée sur ce type de stationnement est indiquée dans le champ duree ; => Les zones bleues : Il s'agit d'un stationnement gratuit à durée limitée pour faire les achats. La durée sur ce type de stationnement est indiquée dans le champ duree. Cette durée est mentionnée sous chaque panneau d'entrée de zone bleue. L'apposition derrière le pare-brise d'un disque est obligatoire. Depuis le 1er janvier 2012, il faut utiliser un disque européen qui a comme particularité d'indiquer uniquement l'heure d'arrivée de l'automobiliste. => Les zones alternées par quinzaine : Il s'agit d'un stationnement utilisé pour mieux réguler l’espace routier en agglomération. Le stationnement doit se faire du côté impair de la rue du 1er au 15 du mois et du côté pair du 16 au 31. Les références des arrêtés pris au titre du stationnement à durée limitée figurent, le cas échéant, dans le champ num_arrete.

  • Cette couche de points est une géolocalisation affinée de la base Sirene® de l'INSEE enrichie par OpenDataSoft. La base Sirene® est le fournisseur des données d’identité des entreprises et des établissements. Elle fait partie des données de référence du Service public de la donnée mis en place par la loi pour une République numérique. OpenDataSoft procède à une première géolocalisation et rajoute des libellés de nomenclature. Rennes Métropole corrige et/ou affine la géolocalisation et l'adresse littérale en s'adossant au Référentiel Voies et Adresses (RVA) de Rennes Métropole. Rennes Métropole procède enfin à des croisements avec d'autres données locales pour enrichissement attributaire.

  • Le Diagnostic de Performance Energétique (DPE) renseigne sur la performance énergétique et environnementale d’un logement ou d’un bâtiment, en évaluant sa consommation d’énergie et son impact en matière d’émissions de gaz à effet de serre. Le contenu et les modalités d’établissement du DPE sont réglementés. Le DPE contient des informations sur les caractéristiques du bâtiment ou du logement (surface, orientation, murs, fenêtres, matériaux, etc.) ainsi que sur ses équipements (de chauffage, de production d’eau chaude sanitaire, de ventilation, etc.). Ces données proviennent de l'Ademe. Voici les attributs disponibles : - numero_dpe - date_etablissement_dpe - date_fin_validite_dpe - etiquette_dpe - etiquette_ges - annee_construction - type_batiment - code_insee - adresse - coordonnées (x, y) - secteur_d'activité (pour le tertiaire) - secteur_dpe (Logement existant, Logement neuf, Tertiaire) - type_dpe (Avant ou après la réforme de juillet 2021) - id_bati (DPE contenu dans le bâtiment ou alors bâtiment le plus proche dans une limite de 15 mètres) - parcelle (parcelle qui contient le DPE) - nb_dpe_adresse (nombre de DPE réalisés à cette adresse) A noter que les DPE de type NULL réalisés sur la base de la méthode de classification utilisée avant juillet 2021 ne sont pas accessibles dans cette couche.

  • Dans le cadre de l'étude de ruissellement actuellement menée par Rennes Métropole (2023-2025), une première analyse du fonctionnement hydraulique a été réalisée à l’échelle globale de son territoire. Sur la base des formes du terrain naturel, les axes de ruissellement ou cheminements de l'eau ont été cartographiés en distinguant : => Les axes de ruissellement naturels, soit le tracé du cheminement des eaux à plus ou moins forte vitesse. Ces axes ont été tracés en considérant différentes hypothèses de taille de surfaces actives contributives les alimentant en amont (de 1, 5, 20 et 100 ha). Il convient de garder à l’esprit que le tracé de ces axes s’appuie uniquement sur les formes du terrain naturel nu (les bâtiments, les murets, haies et éléments de végétation ayant été filtrés du MNT) : l’effet d’obstacle du bâti et des murs/haies situés en limite de parcelles notamment dans les secteurs urbanisés n’est donc pas pris en compte. => Les axes de ruissellement anthropiques intégrant de manière simplifiée l’effet d’obstacle des bâtiments (extrusion des bâtiments) et de drainage préférentiel le long des voiries (décaissé de 15 cm). Ces axes permettent notamment d’identifier l’impact d’éléments anthropiques structurants sur le tracé des écoulements. En revanche, certains éléments de micro-topographie urbaine (murs / haies en limite de parcelle notamment) n’ont pas été pris en compte. Les axes de ruissellement naturels sont représentés selon 4 niveaux de précision en fonction de la surface minimale du bassin versant en amont qui les alimentent : > 1 ha en kaki > 5 ha en vert > 20 ha en bleu > 100 ha en violet Cette discrétisation permet d’appréhender à différentes échelles du réseau, des axes de ruissellement en complément du réseau hydrographique pérenne et des cours d’eau secondaires. Limites de l'utilisation de la donnée : => Le tracé des axes de ruissellement se base uniquement sur un critère de taille de surface active drainée et n’intègre pas l’influence de la nature du sous-sol sur le potentiel d’infiltration, sur la capacité de ce dernier à ruisseler et enfin de la pente. Cependant, l’impact de différents types d’occupation du sol, et notamment de son taux d’imperméabilisation a été pris en compte par des coefficients de ruissellement correspondants aux grands types d'occupation du sol (les zones urbaines, les zones à urbaniser (ZAU), les zones agricoles et les zones naturelles) ; => Il s’agit donc d’une identification maximaliste des axes potentiels d’écoulement des eaux, sans préjuger de la fréquence d’activation de ces axes ou encore l’ordre de grandeur des paramètres hydrauliques (hauteurs de submersion et vitesses) qui pourraient y être observés ; Ainsi, il est dans tous les cas indispensables de confronter ces analyses à la réalité du territoire et notamment aux observations historiques recensées. Cela constitue plutôt une invitation à approfondir la connaissance des risques sur les secteurs à enjeux.

  • Cette couche créée à l'aide d'algorithmes, localise l'emplacement théorique des arbres calculé sur la base d'un MNS classifié et d'un MNT. Parmi les attributs : - arbre_h = hauteur de l'arbres (issue de l'opération max - min) ; - houppier_h = hauteur du houppier (arbre_h/3 x2) ; - houppier_r = rayon du houppier (racine carrée de l'aire du Voronoï / 3.14) ; - tronc_h = hauteur du tronc (arbre_h/3) ; - tronc_r = rayon du tronc (houppier_r/10) ; - min = altitude minimale de l'arbre (issue du MNT) ; - max = altitude maximale de l'arbre (issue du MNS).

  • Cette donnée identifie les différents secteurs d'intervention des architectes conseils métropolitains sur les communes de Rennes Métropole. Les architectes urbanistes conseils métropolitains ont pour mission de garantir la cohérence des aménagements urbains déployés sur le territoire de Rennes Métropole. Avant la mise en œuvre de projets d'aménagements, ils analysent le bâti, la morphologie urbaine, les éléments patrimoniaux, architecturaux, paysagers... pour répondre aux besoins des communes en respectant la cohérence des aménagements à l’échelle d'un îlot, du quartier et de la commune dans le contexte métropolitain. Missionnés par la Mission Nouvelle Fabrique de la Ville, ils travaillent, pour chaque commune, en concertation étroite avec avec les services de la Métropole, notamment les référents urbanistes du Service Planification et Etudes Urbaines et le Service Droit des Sols.